Raya & Ana/Partie 6 ~

From All The Fallen Stories
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Partie 6 ~


Sans qu’elle n’eût le temps de comprendre, la fillette se retrouvait allonger au sol. Un peu secouée par les gestes brusques de Raya, étendue sur la chaude fourrure, intégralement nue devant celle qui devenait peu à peu sa maîtresse. Mal à l’aise plus que jamais dans cette position compromettante et terriblement aguicheuse, Ana essayait tant bien que mal de distinguer le sexe massif de la furry. Celle-ci s’approchait dangereusement de son intimité, alors qu’elle venait chercher une lubrification naturelle, caressant la vulve de l’enfant, et écartant ses lèvres en commençant à jouer avec cette zone pourtant si sensible. Les petits mamelons ainsi que le clitoris de Ana commencèrent à pointer, comme de petites perles rosées, alors qu’elle s’humidifiait peu à peu, haletante, gémissant à chaque mouvement en contact avec cette partie bien trop érogène. Soudain elle écarquilla les yeux et poussa un petit cri en sentant un doigt de la féline s’enfoncer dans son étroitesse, déformant sa chair, laissant l’intérieur de son corps épouser la forme de ce qui lui procurait autant de plaisir que de peur. Un second la pénétra, l’index et l’annulaire menaçaient de déchirer son hymen tout en cherchant à se faire une place dans son orifice bien trop serré. Ana essaya de se défendre, gigotant en tout sens, mais la main de Raya plaquait sur son épaule la maintenait au sol. Impuissante, il ne s’en suivit que des petites larmes souillant à nouveau son visage angélique. Puis comme dernier moyen de défense, elle vint supplier, prier la tigresse de se montrer compréhensible, raisonnable. « Si… si… s’il… s’il vous plaît… pas… pas ça… je… j’utiliserais ma… ma bouche… »


La jeune enfant était très réceptive à toutes ses attentions, son corps ne mentait pas et réagissait de manière naturelle à tous ces stimuli. Toutefois la fillette était apeurée et l’intrusion des doigts de notre féline en elle l’avait poussée à tenter de se défendre comme elle le pouvait. Tout cela en vain, et comme si elle prenait une nouvelle fois conscience de son impuissance et de sa vulnérabilité, de chaudes larmes se mirent à perler le long de son visage. Ce fut alors que Raya entendit sa supplique, son ultime espoir d’être épargnée, un espoir qui fut balayé d’une traite lorsque Raya enfonça d’un coup ses deux doigts profondément en elle, lui arrachant de nouvelles pleures. Ces dernières ne semblaient pas perturber la tigresse, et encore moins la freiner dans son élan. Cette dernière se pencha alors vers ce petit être fragile et vint lui lécher ses larmes, comme pour savourer encore plus encore l’instant présent.


Un petit hurlement raisonna dans la caverne, alors que les doigts de Raya s’étaient introduits au fond de la fillette, qui pleurait désormais à chaudes larmes alors que quelques petites gouttes de sang venaient à couler hors de son intimité. Ana fermait les yeux, se forçant à ne plus regarder ce qu’il se passait, tout en resserrant ses genoux vers l’intérieur par simple geste défensif. S’il s’agissait d’un cauchemar, elle espérait rapidement se réveiller, mais petit à petit, la situation lui donnait envie de ne jamais plus ouvrir les yeux, de rester endormie, loin de tout. L’odeur de luxure émanant de la féline était aussi envoûtante que repoussante, Ana avait l’impression sa verge sous le nez, sa rationalité semblait peu à peu lui échapper, noyée dans ses pleurs et étouffée par ce plaisir coupable qu’elle ressentait. Si la tigresse ne la pénétrait pas encore, le viol avait débuté, et dans sa tête, les images à venir commençaient à la hanter.


Après avoir fait aller un moment ses doigts dans son intimité, Raya se redressa, laissant ainsi quelques secondes de répit à cette enfant complètement anéantie qui n’avait visiblement plus la force de lutter ou de fuir. Il n’était plus nécessaire qu’elle la maintienne au sol, regardant son corps frêle à sa merci, Raya goûtait au sang de la petite fille. Ce dernier avait souillé ses doigts et eut l’effet d’un aphrodisiaque chez notre tigresse qui attrapa son chibre, se le masturbant un peu avant de le présenter devant l’orifice sanguinolent de la fillette. Ses mains la saisirent alors par la taille, et forte de cet appui, Raya commença à pousser son chibre dans cet antre de chair nullement pensée pour accueillir un tel monstre. Ce coup-ci, la progression était si difficile que Raya se pouvait se permettre d’y aller d’une traite. Chaque millimètre, chaque centimètre qu’elle gagnait faisaient frémir ses oreilles qui percevaient les cris et les pleurs de celle qu’elle souillait.


Partie 7 ~