Raya & Ana/Partie 11 ~
Partie 11 ~
La fillette se sentait de nouveau bien avec la tigresse, se collant contre elle qui la tenait désormais dans ses bras. Ses douces lèvres avaient laissé échapper un petit filet de salive mêlé à du lait, sans même sans rendre compte, ses yeux se fermaient malgré elle, petit à petit, un sommeil important l’entraînait. Nombre de fois, les mains de la tigresse s’approchèrent du large et moelleux postérieur de l’enfant, qui presqu’endormie se contentait de pousser de légers gémissements à chaque fois. Ses yeux s’écarquillèrent alors soudain lorsqu’elle sentit une masse de chair brûlante écarter ses lèvres intimes, frotter contre sa vulve pour au final venir taper doucement contre le bas de son ventre. La furry la tenait fermement dans ses bras, et Ana avait d’ores et déjà les larmes aux yeux. Comprenant très vite la situation, elle essayait de faire « non » de la tête, sur le point de laisser éclater de nouveaux sanglots, alors que la fillette percevait l’impatience grandissante de cette verge qui se frottait à elle.
Raya sentait la panique gagner la jeune enfant, mais il était trop tard. Son sexe qui se frottait contre celui de Ana cherchait déjà un moyen de forcer une fois encore l’entrée de son être. Ne souhaitant pas que l’agitation de la fillette rende l’affaire plus compliquée, Raya pencha la tête vers elle, venant ainsi lui lécher le visage tout en se mettant à ronronner. Elle n’avait là aucun mal à le faire étant donné qu’elle anticipait déjà le plaisir que cette enfant allait de nouveau lui prodiguer. Un petit couinement vint alors perturber la quiétude de la grotte, le bout du chibre de la tigresse venait de trouver l’entrée de l’orifice de la fillette. Il ne s’en délogea dès lors pas, et agrippant la petite au niveau de la taille, Raya la fit doucement descendre et s’empaler sur sa queue.
Si le côté « chat de compagnie » de la tigresse s’avérait des plus charmants, il n’en restait pas moins que la dominatrice féline cherchait là une fois de plus à se servir du corps de l’enfant comme d’un jouet pour son bon plaisir. La fillette tendait ses bras pour essayer en vain de repousser Raya. Cette dernière arriva à enfoncer le bout de son gigantesque membre dans le corps de Ana qui, prise de peur, de douleur, mais aussi de plaisir, se perdait peu à peu, plissant les yeux, couinant, les larmes au coin de ses paupières venant à couler sans modération. Un petit cri étouffé lui échappa alors que la féline était bien décidée à continuer, agrippant l’enfant par les hanches, elle la fit descendre bien plus brutalement que la première fois, afin qu’elle se fasse intégralement pénétrer par la queue de Raya, qui en comparaison de l’étroitesse de Ana restait disproportionnée. La petite écarquillait les yeux, ses pensées volaient en éclat, et elle sentait sa tête se vider, toute rationalité l’abandonnant tandis qu’elle se laissait aller, s’écroulant contre la femelle fortement excitée.
Raya avait fait voler en poussière les vaines résistances de la fillette, désormais elle n’avait aucune difficulté à faire aller et venir le corps de la fillette sur son pieu qui savourait la chaleur et la pression de la cavité qu’il élargissait à chaque passage. Prenant le pli et voulant ressentir toujours davantage de plaisir, Raya se mit à accélérer la cadence, usant vraiment du corps de l’enfant comme d’un jouet sexuel. Le plaisir était si intense que la féline ne prêtait plus attention aux plaintes et aux gémissements de Ana, ces derniers finirent par se faire de plus en plus rares et espacés à force que cette dernière s’épuisait face à tant de hargne et de bestialité.