Raya & Ana/Partie 15 ~

From All The Fallen Stories
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Partie 15 ~


Comprimée entre l’opulente poitrine de la fillette, glissant lentement de son bout dans sa bouche, la verge de Raya semblait lui procurer un plaisir suffisant. La féline venait même remuer de ses hanches pour accentuer les mouvements de l’enfant, demandant sans doute plus de plaisir. Ana essayait de se montrer la plus efficace possible, même malgré son apparente excitation, sa vulve continuant de dégouliner de fluides divers, alors que ses mamelons de leur adorable couleur rose semblaient danser avec la tigresse. Elle poussait de légers gémissements, un certain plaisir l’empêchant de se contenir, alors qu’elle espérait bientôt voir la femelle se lâcher dans sa bouche.


Ana pouvait être fière d’elle, elle avait réussi à exciter de nouveau pleinement la tigresse. Cette dernière face à tant de sensations plaisantes ne tarda pas à se montrer de nouveau bien bestiale. Attrapant le corps de l’enfant, elle interrompit le plaisant traitement pour la faire brusquement s’allonger sur le sol au milieu des fourrures. Dans son élan, Raya se montra quelque peu rude, mais la fillette n’eut pas vraiment le temps de se plaindre car la féline lui représentait déjà son chibre en face des lèvres. Raya la vit alors entrouvrir la bouche, et il ne lui en fallut pas plus pour forcer le passage et s’en aller profondément dans la gorge de l’enfant qu’elle baisa alors comme elle l’avait si bien fait avec son intimité. Chacun de ses coups étaient violents et faisaient heurter la tête de la fillette contre le sol, les fourrures amortissant à peine le choc. Raya sentait son pieu frotter allègrement les parois de la gorge de l’enfant, et finalement quelques minutes après le début du traitement, Raya commença à se déverser abondamment. D’abord dans le fond de sa gorge, avant de se retirer et d’arroser copieusement son visage. Pour cette fois, Ana n’avait qu’à s’en prendre à elle-même, car c’était nulle autre qu’elle qui avait titillé le fauve.


Du liquide pré-séminal venait noyer la langue de la fillette, le puissant goût de ce dernier emplissant sa petite bouche, la faisant rougir davantage. Ce parfum qui lui faisait perdre peu à peu la tête, couplé à son excitation grandissante, la poussait à continuer toujours plus. Raya sembla alors à nouveau très emballée, son sexe dressé demandant que l’on s’en occupe comme elle l’aimait, de façon bestiale, lors de pratique violente. C’est alors qu’elle vint plaquer Ana au sol, froidement, de façon un peu sèche, cherchant finalement à ouvrir la bouche de l’enfant, ses lèvres pulpeuses, reliées à son énorme membre par un épais filet de salive. Elle ne mit qu’un instant avant d’y arriver et de débuter une violente pénétration, forçant l’entrée de sa bouche pour finalement atteindre le fond de sa gorge. Allant et venant à l’intérieur, comme dans un vulgaire sextoy, de large coup de bassin venant faire taper la tête de l’enfant qui n’arrivait alors plus à respirer. Puis enfin, elle atteignit l’orgasme, replissant le ventre, la gorge, la bouche de Ana d’une quantité de semence telle que la tigresse en eut assez pour gicler encore plusieurs fois sur son doux visage. La fillette désormais en larme, reprenait son souffle comme elle le pouvait, essayant d’avaler au mieux, alors que son regard se levait vers sa maîtresse féline.


Raya s’était une fois encore lâchée comme jamais, il était même encore surprenant que la fillette soit encore consciente après un tel traitement. Peut-être était-ce dû à la douleur due au fait que sa tête avait frappé à moultes reprises le sol au rythme des coups de rein de la féline ? Raya n’en savait rien et fixait l’enfant qui peinait à se remettre de ses émotions. Cette dernière jeta alors un regard vers elle que notre tigresse ne sut comment interpréter. Toutefois notre furry estimait cette fois-ci que sa protégée n’irait pas quémander un nouveau round irraisonnable. Cette dernière était désormais dans un tel état que la penser enceinte aurait été une erreur des plus compréhensibles. De plus vu désormais l’état de la virilité de la bête, même si elle l’aurait voulu, Raya n’aurait pas pu lui donner satisfaction. Ce fut alors qu’une obscurité soudaine et complète vint les frapper, le feu venait de complètement se consumer, et seules les cendres encore brillantes et brûlantes contrastaient encore avec la pénombre de la grotte. Raya resta sans bouger, ses yeux toujours poser sur la fillette, s’habituant rapidement à l’obscurité ambiante. Elle se demandait vraiment à quoi pouvait penser cette enfant désormais, si lors de leurs premiers échanges sa peur était une évidence, Raya ne pouvait à présent plus affirmer avec certitude quelle émotion traversait ce petit être fragile qu’elle avait été sauvé de la toundra et qui allait partager sa vie à présent.


« FIN »